Essai Sym Citycom 125
Un dessin sportif que souligne ce coloris blanc qui contraste avec le noir brillant des jantes et le rouge vif de l'amortisseur.
Le Sym Citycom 125 se présente comme un scooter GT et sportif. Un deux-roues au dessin sportif que souligne ce coloris blanc qui contraste avec le noir brillant des jantes ou des poignées passager et le rouge vif de l'amortisseur. L'aspect pratique est là mais pas trop, et une fois en route, la motorisation n'est finalement pas si dynamique qu'on l'imagine. Elle permet de profiter d'un scooter facile et élégant avec sa selle surpiquée en blanc.
Confort <rank>2
La spacieuse selle oblige le pilote à prendre place au milieu de la surface qui lui est attribué. Impossible donc de profiter de l'appui que promet cette jolie selle au premier regard. Les pieds peuvent être placés sur le plancher ou dans le tablier. Cet emplacement est toutefois haut perché et empêche les manoeuvres en ville. Il est donc réservé aux grands axes où on pourra varier la position des jambes. La protection du pare-brise est très correcte, large et assez haut, il dévie bien le flux d'air. Le passager a pour lui une large selle, des repose-pieds escamotables métalliques et deux larges poignées qui en plus d'être pratiques, sont esthétiques.
Pratique <rank>3
Un vide-poche qui ferme à clé abrite une prise 12V. L'ouverture du coffre non éclairé bascule vers l'avant. Malgré sa taille, il ne peut contenir qu'un seul casque intégral et il faut faire attention à son positionnement sous peine de ne pas pouvoir refermer la selle ! Une sacoche contenant un ordinateur peut y trouver sa place, mais attention aux appuis de la selle qui viennent rogner l'espace disponible, il faudra essayer avec votre sacoche pour être certain qu'elle tient dans le coffre fermé. En dehors de ceci, la forme du coffre est logeable. Il n'y a pas de porte-paquet mais un accroche sac est disponible dans le tablier.
Equipement <rank>4
Le tableau de bord est grand et lisible, on y trouve même un compte-tours pour renforcer l'image sportive du Sym Citycom déjà soulignée par le grand tachymètre à aiguille sur son fond blanc. L'écran LCD présente les totalisateurs kilométriques, la montre et la jauge de carburant. Une béquille latérale et une béquille centrale équipent le Citycom 125.
Performance <rank>3
Le monocylindre 4 temps 4 soupapes à refroidissement liquide développe 13.2 chevaux à 8500tr/min. Capable d'atteindre les 110km/h, il a toutefois du mal à passer la barre des 95km/h. Son dessin et sa finition aux allures sportives donnent l'envie de plus de punch, quoi qu'il en soit, ses performances ne sont pas un réel souci en usage urbain où sa linéarité le rend facile.
Sécurité <rank>3
Avec sa roue avant de 15 pouces et sa roue arrière de 14, le Sym Citycom reste à l'aise sur les mauvais revêtements. La fourche travaille correctement mais l'avant est un peu souple en comparaison et se fait sentir lorsqu'on roule proche de la vitesse de pointe. Le freinage avant est mordant et puissant, comme l'arrière qui l'est un peu trop avec ses deux pistons, attention aux risques de blocages.
Bilan essai Sym Citycom 125
Son dessin et sa finition sportifs donne un aspect très dynamique à ce scooter qu'on ne retrouve pas nécessairement une fois en selle. Le frein arrière est trop puissant, mais on apprécie en revanche la dimension des roues pour la stabilité.
La jolie selle surpiquée de fils blancs manque de confort pour le pilote et la forme du coffre peut être contrariante à l'usage malgré son volume, mais tout dépend de ce que vous avez à mettre dedans. L'équipement est pour sa part complet et suffisant pour un quotidien sans encombre.
On aime bien
- dessin et coloris du modèle
- équipement bien fourni
On aime moins
- frein arrière un peu puissant
- forme du coffre peu pratique
- assise pas idéale
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